OVEC — ÉTUDES TERTIAIRES: Vingt-six jeunes décrochent une bourse

Cette année encore, à l’initiative de l’Overseas Education Centre (OVEC), qui permet aux jeunes Mauriciens de poursuivre leurs études à l’étranger, 26 jeunes ont décroché des bourses allant de 10% à 100% pour des études dans les meilleures universités du monde. Cette année, 45 bourses ont été offertes. Si certains ont préféré rester à Maurice pour des raisons financières, d’autres ont déjà accepté l’offre, dont une étudiante ayant obtenu une bourse complète. Les autres seront financés à plus de 25%.
Parmi les jeunes ayant obtenu des bourses, une bonne dizaine ont déjà mis le cap pour leurs destinations respectives alors que les autres partiront dans les prochaines semaines. Une fois de plus, les universités canadiennes ont la cote auprès des Mauriciens. D’autre part, les universités australiennes continuent de faire la part belle aux étudiants mauriciens avec l’octroi d’une quinzaine de bourses. Outre le Canada, l’Australie est une autre destination attirant bon nombre de Mauriciens en raison des opportunités d’emploi proposées après les études. À noter que l’OVEC organisera ce mois-ci un “predeparture gathering” en l’honneur des boursiers. Cette rencontre, qui est devenue un rendez-vous annuel, est l’occasion de récompenser les lauréats et de leur permettre de se côtoyer avant leur départ.
L’offre de ce bon nombre de bourses a été rendue possible grâce à la négociation et l’intervention de l’OVEC auprès des universités que l’organisme représente. Sa directrice, le Dr Dorish Chitson, revient de ses prospections, où elle a eu l’occasion de visiter bon nombre d’institutions qu’elle représente, notamment en Australie, aux États-Unis et au Canada. Ce déplacement a été l’occasion de faire un constat de visu des infrastructures, des cours dispensés et de rencontrer ses étudiants. « C’est important de rester en contact avec les étudiants et de veiller à ce que tout se passe bien tout au long de leurs études. L’OVEC est toujours à l’avant-garde des développements dans le domaine de l’éducation car il suit de près l’évolution, non seulement des demandes de la part de ses étudiants, mais aussi des institutions internationales, qui fluctuent selon les conjonctures économiques, politiques et sociales », explique-t-elle.

ARTICLE PARU DANS LE MAURICIEN |